Etanchéité.Info - Numéro 79 - Septembre 2023

www.leprieure1840.com Tél : 02 54 82 09 90 Inventeur de solutions pour toitures végétalisées Bac précultivé à réserve d’eau HYDROPACK® La référence du marché depuis près de 20 ans Nouveau Hydropack Néo Light 60 kg/m² sous ATEC INNOVATION BATIMAT 2005 MÉDAILLE OR INNOVATION BATIMAT 2015 MÉDAILLE OR TROPHÉE INNOVATION 2023 CSFE Toiture Hydroactive régulante et respirante OASIS® Débit de fuite < 1 l/s/ha et coefficient de ruissellement < 0,1 Remontées capillaires avec mèches Irrig’Up Toiture Hydro Bio-Solaire OASIS BIOSOLAR® La seule solution triple : gestion des eaux pluviale + végétalisation + énergie solaire La seule solution biosolaire sous ETN INNOVATION MISE EN ŒUVRE SUR LE VILLAGE OLYMPIQUE les hôtels, les bureaux que les hôpitaux. Difficile donc de trouver une règle commune face à cette diversité d’acteurs aux enjeux, aux intérêts et aux moyens financiers sans véritable point commun. Ainsi, « certains ont anticipé la parution du décret, évoqué pour la première fois en 2010. Il s’agit particulièrement des poids lourds du secteur, propriétaires ou locataires de parcs importants. D’autres l’ont découvert à sa parution mais parmi les plus petits, il en existe qui ne sont même pas au courant », rappelle Magali Saint-Donat, présidente de la commission RSE de l’Association des directeurs immobiliers (ADI). À leur décharge, tous les arrêtés d’application ne sont pas encore parus. C’est le cas notamment pour les commerces, l’hôtellerie et les locations touristiques, la restauration et les centres de données qui attendent la sortie de l’« arrêté valeur absolue 3 ». Une première version a été soumise à consultation publique en mai dernier mais elle ne porte que sur un nombre restreint d’ouvrages. « Certains, comme les bâtiments logistiques, sont encore laissés à l’écart. Pourtant, l’arrêté valeur absolue leur est nécessaire non seulement pour choisir la méthode pour atteindre les objectifs mais surtout parce que c’est lui qui définit les règles de redressement des consommations en fonction des usages du bâtiment. Il est indispensable pour choisir en connaissance de cause l’année de référence pour le calcul de l’économie », souligne Benoit Dubois-Taine, associé fondateur chez ECH Énergie et Systenza. « L’attente est longue pour les professionnels du secteur », abonde Diana Dizian, directrice déléguée d’Afilog, d’autant plus que le projet d’arrêté est complexe avec ses 200 pages et nombreuses sous-catégories d’usages. Pas facile de s’y retrouver donc, surtout lorsque l’on est une petite structure ne disposant pas, en interne, des ressources suffisantes. SCENARII DE TRAVAUX Les assujettis avaient jusqu’au 31 décembre 2022 pour déclarer sur la plateforme Operat les consommations énergétiques entre 2010 et 2020 et l’année de référence des surfaces dont ils ont la responsabilité. Certes ils restent quelques retardataires mais de manière générale, l’heure est aujourd’hui à la deuxième phase du processus : l’identification des leviers sur lesquels agir pour remplir les objectifs. « La réalisation d’un audit énergétique est vivement conseillée », explique Augustin Bouet et « peut permettre, à lui seul, d’atteindre 10 % d’économie », ajoute Julien Jimenez, sous-directeur du conseil régional de Nouvelle Aquitaine. Il aboutit à l’élaboration DOSSIER 17 ÉTANCHÉITÉ.INFO #79 SEPTEMBRE 2023 TENDANCE

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