Ces informations sont à usage interne uniquement. Cas d’étude - Bâtiment commercial ➢Aucun dépassement de la température de seuil (80°C) n’est constaté durant les différentes modélisations, ➢Le cas le plus défavorable en nombre d’heures de dépassements du seuil à 70°C est le cas de la toiture en LDR à faible masse volumique avec une étanchéité de faible albédo dans la ville de Paris, ➢Le cas le plus défavorable en nombre d’heures de dépassements du seuil à 60°C est le cas de la toiture en LDR à faible masse volumique avec une étanchéité de faible albédo dans la ville de Nice (température de surface moyenne annuelle plus élevée de 4°C par rapport à Paris), ➢La densité des matériaux isolants semble très peu impacter les résultats. Les températures de surface extrêmes varient (variation maximale de 0,5°C) sans modifier la valeur de température moyenne de surface. ➢Pour une étanchéité bitumineuse à albédo modéré (SRI égal 40) , dans le cas de la toiture en LDR à forte masse volumique, dans la ville de Nice, le seuil à 60°C n’est jamais dépassé. A SRI égal, la surface ayant l’émissivité la plus basse voit le seuil de 50°C dépassé 5h de moins que la surface à plus haute émissivité. Cette différence n’est pas jugée significative à l’échelle d’une année. Résultats 17
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