Synthèse de l'étude sur l'impact des procédés réflectifs - FFB - Juin 2024

MAJ 190624 6 Confort d’été : des gains faibles à significatifs suivant les situations Nombre d’heures supérieures à 28°C en occupation Le tableau suivant présente l’impact sur les heures supérieures à 28°C en occupation à passer d’un SRI 5 à un SRI 115 pour les 4 usages de bâtiments et 3 fichiers météorologiques sur un climat contemporain : * Ecarts présentés entre deux valeurs de SRI « extrêmes » (1) Le gain annoncé est limité car les durées d’inconfort du projet de référence sont faibles → couverture totale des temps d’inconfort (2) Une ventilation naturelle par ouverture des fenêtres a été considérée pour ces résultats. Gains annoncés uniquement pour le dernier niveau sous toiture. Pas d’impact pour les niveaux inférieurs x : inconfort peu significatif pour évaluer un gain Concernant le nombre d’heures supérieures à 28°C en occupation, l’étude révèle que : → L’impact des procédés réflectifs est 2 à 3 fois plus important pour le bâtiment commercial par rapport au bâtiment industriel modélisé (type entrepôt), → Pour le bâtiment de bureaux, la prise en compte d’une ventilation naturelle par ouverture des fenêtres en période d’occupation, l’impact de la modification du revêtement réflectif va être peu ou pas significatif. Dans une configuration où ce levier n’est pas possible (zone de bruit fort, mauvaise gestion de l’occupant), la modification du revêtement réflectif pourra s’avérer plus intéressante, → Pour les bâtiments résidentiels, le recours à une ventilation naturelle n’est pas possible en journée lorsque le logement est inoccupé. Les températures peuvent s’avérer plus élevées dans le logement au retour des occupants en fin de journée, ce qui explique des gains plus conséquents, notamment sur des régions plus chaudes.

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